Phénix:
Il va de soi que si je constate l'existence d'un égrégore, je m'en occupe. Mais j'ai été indiscipliné, et je me suis occupé d'autre chose, si bien que le flux d'énergie que j'utilisais a révélé que j'abritais plusieurs égrégores dans mon corps. Ils s'étaient harmonisés avec mon énergie si bien qu'ils ne me dérangeaient pas, sauf dans cette situation.
Je n'ai eu aucun mal à les défaire pour les libérer, mais il est possible que cela m'ait déséquilibré. Le flux a aussi révélé la nécessité de travailler sur des traces de traumatismes de vies antérieures.
Le matin je me suis trouvé avec les reins et le foie saturés, ainsi qu'une trachéite. Je pensais que c'était d'avoir trop travaillé, mais apparemment j'ai été affecté par le virus. J'ai surtout été atteint au niveau du système nerveux.
Il semble toutefois que l'agressivité de ce virus ait diminué, je pense donc que l'égrégore est une cause de cette agressivité. J'ai encore à faire pour finir de le démonter, mais je suis obligé de respecter des priorités, j'ai tout de même été sérieusement affaiblit pas une grosse difficulté à m'alimenter.
C'était début mars, donc avant que je ne devienne covidien. Si je me souviens bien je me suis rendu à l'hôpital pour examen le 20 mars, soit deux semaines après cette cause. J'ai donc agit ainsi le 5 ou le 6 mars. J'avais honte de mon indiscipline, c'est pourquoi je n'ai pas expliqué exactement ce que j'ai fait : alors que le soir j'avais travaillé sur le coronavirus, je me suis réveillé étonnement en forme dans la nuit, et j'avais soudainement eu l'idée de m'occuper de la grippe saisonnière, puis d'ebola.
C'est ebola qui m'avait posé problème, car j'étais tombé sur un puissant égrégore qui générait un énorme vortex très noir.
Ai-je aidé à
la fin de l'épidémie ?