A la première personne dont il est question ici :
J'ai eu la surprise de te voir dans un de mes rêves, il y a un peu plus d'une semaine...
Comme j'en faisais la remarque "Mais tu es à mes côtés...", tu m'as répondu :
"Ne crois pas que c'est gagné"... il y a une suite, mais je ne l'ai pas écoutée, j'avais autre chose à faire.
Il en serait exactement de même dans mon comportement éveillé, car je ne cherche pas à te gagner. Si un jour tu reviens à mes côtés, comme tu l'as pré-vu, c'est que tu y trouveras ton compte.
Je souhaite même que cela soit parce que tu auras constaté que les pièces du puzzle s'emboîtent particulièrement bien, pas parce que je t'aurais gagnée.
Que devrais-je donc faire pour te gagner ???
Comme dans mon rêve, je ne m'en souci guère. Je souhaite être moi-même, et c'est mon seul but.
Souviens-toi, début 2015, ton grand-père, par ton intermédiaire, m'indiquait que je n'étais plus sur ma route.
Aveugle, seul pour comprendre, je prenais pour des magiciens qui m'agressaient, des
égrégores. Je me défendais alors qu'il me suffisait de les aider à rejoindre l'au-delà. Cela dit, ces combats m'ayant rendu plus fort, je n'ai pas pour autant perdu mon temps.
Mais aujourd'hui, je suis bien sur ma route, et je n'en dévierais pour personne. Si un jour tu es à nouveau à mes côtés, c'est que tu seras sur ma route, et non que je serais venu te chercher.
Pour moi, ta réponse "Ne crois pas que c'est gagné" est une réaction d'orgueil, qui montre donc que tu n'as pas encore compris pourquoi tu t'es détruite en 2011.
C'est ton orgueil qui t'a conduite à ta destruction, rien d'autre.
Ce putain d'orgueil qui t'a fait semer la destruction dans bien de tes vies, d'ailleurs.
C'est à lui que tu dois bien des épreuves pour que tu comprennes et que tu le surpasses enfin.
Apparemment ce n'est pas gagné.
Je pense qu'il faut que tu reprennes tes vies depuis le début, car je crois qu'il est présent dès ta première incarnation.
Je crois qu'il faut que tu étudies ta relation avec celle qui a été ta maman (et que je t'ai présentée) quand tu as été mon enfant. C'est à mon avis entre vous deux qu'il y a un problème.
Je crois que tu n'as jamais admis qu'elle soit à mes côtés dans toutes mes vies sauf une.
A ta place.
Et c'est certainement en prévision de ta réaction qu'elle y a été !