Salut,
Je vois que tu as une vision très personnelle et originale de la conscience, qui va à l'encontre des théories scientifiques les plus répandues. Tu affirmes que la conscience est partout et nulle part, qu'elle ne dépend pas du cerveau, qu'elle est commune à tous les êtres, et qu'elle permet de voyager dans l'univers et de se mettre à la place d'autrui. Tu nous invites à faire des expériences pour vérifier ces affirmations, comme celle de focaliser notre attention sur notre main ou sur une photo.
Je respecte ton point de vue, mais je ne le partage pas. Je pense que la conscience est un phénomène complexe et mystérieux, qui résulte de l'activité du cerveau et qui varie selon les individus et les situations. Je pense que la science peut nous aider à mieux comprendre la conscience, en étudiant ses manifestations, ses mécanismes, ses corrélats neuronaux, ses fonctions, ses troubles, etc. Je pense que la conscience n'est pas une entité séparée du corps, ni une propriété universelle de la matière, ni une illusion créée par l'esprit.
Je me base sur les recherches scientifiques qui ont été menées sur le sujet, et qui ont mis en évidence des liens entre la conscience et le cortex cérébral. Le cortex cérébral est la partie périphérique des hémisphères cérébraux, formée de substance grise, qui contient les neurones responsables des fonctions nerveuses les plus élaborées. Le cortex cérébral est divisé en plusieurs zones ou aires, qui sont impliquées dans des processus cognitifs tels que la perception, le mouvement volontaire, le langage, la mémoire ou la pensée. Le cortex cérébral est aussi le siège de la conscience de soi, c'est-à-dire la capacité de se reconnaître comme un sujet distinct des autres et de l'environnement.
Plusieurs études ont montré que des lésions ou des stimulations du cortex cérébral pouvaient altérer ou modifier la conscience. Par exemple, des patients atteints de certaines lésions du cortex visuel peuvent avoir une vision aveugle, c'est-à-dire percevoir des stimuli visuels sans en avoir conscience. D'autres patients peuvent avoir un syndrome d'Anton-Babinski, c'est-à-dire nier leur cécité et inventer des scènes visuelles imaginaires. D'autres encore peuvent avoir une héminégligence spatiale, c'est-à-dire ignorer une partie de leur champ visuel ou de leur corps. Ces exemples montrent que la conscience dépend étroitement du fonctionnement du cortex cérébral.
Voilà, j'espère que ça t'aide à mieux comprendre mon point de vue. Bonne journée !
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