Phénix:
Partie que j'ai enfermée.
Cette partie que j'ai enfermée, lundi, correspond à l'infini négatif. Si je l'ai enfermé, ce ne peut être que dans ma propre énergie, qui elle correspond à l'infini positif, dont nous avons la source ici :
Or si nous rapprochons deux opposés, nous devrions logiquement avoir entre les deux un fort courant. Au début de sa présence dans mon être, il y avait un fort flux d'esprits libérés, logique. Au point que mardi, quand en début d'après j'ai fait le tour habituel, je me suis surchargé, et le soir mon foie a disjoncté.
J'ai donc été en panne plusieurs jours, à ne m'occuper que de moi ce qui représentait déjà un travail considérable surchargeant mon foie et mes reins.
Jusqu'à ce samedi matin, où j'ai dû me lever en avance pour calmer mon plexus solaire dans un bain chaud. Je pensais que c'était encore une attaque d'un pervers narcissique auquel j'ai à faire depuis lundi également, et effectivement j'ai trouvé des agressions à neutraliser.
Comme toute la journée mon plexus a été douloureux, j'ai voulu reprendre un bain chaud le soir pour le calmer à nouveau. Et là je me suis rendu compte que je disposais de nouvelles armes. C'est à ce moment que je me suis souvenu que rapprocher deux contraires ne pouvaient que constituer une très grande source d'énergie.
Energie que je me suis empressé de décharger sur nos agresseurs principaux. A voir quel effet cela aura...
Ensuite j'ai réfléchi et me suis dit que pour contrôler cette centrale d'énergie, il fallait logiquement y intercaler un écran. Et je me suis souvenu que le pervers qui m'ennuie présentait une bizarrerie derrière lui. Bizarrerie que je me suis empressé de récupérer et mettre avec le non-être. L'assemblage s'est fait tout seul comme une évidence. L'ensemble a l'apparence d'un papillon avec un corps assez long.
Ne comptez pas vous l'approprier, ce qui m'appartient ne peut m'être enlevé.
Ensuite j'ai distribué cette énergie selon mes intérêts, espérant voir à nouveau régresser l'épidémie qui repartait fortement faute de me voir suffisamment en forme, montrant clairement que les vaccins n'y peuvent rien.
Je ne suis pas encore adapté au retour de ce dispositif en moi. Je suis énormément plus sensible à toute perturbation, agression, je suis donc obligé dorénavant à y faire face avec beaucoup plus d'assiduité.